lundi 28 avril 2014

Viktor Lazlo en répétition avec l'Orchestre Royal de Chambre de Wallonie



C'était le 3 avril dernier, je regrette de ne pas avoir pu assister au concert dont le programme était : 




    Jean-Sébastien Bach :
    Concerto pour piano et orchestre en fa mineur BWV 1056 / Frank Braley,   
    Anton Dvorak : Sérénade pour cordes en mi majeur, op. 22
    George Gershwin : Songs pour piano solo / Frank Braley, piano
    George Gershwin : The man I love / Viktor Lazlo, chant
    Billie Holiday : The end of a Love Affair / Viktor Lazlo, chant
    Billie Holiday : You’ve changed / Viktor Lazlo, chant
    George Gershwin : Strange Fruit / Viktor Lazlo, chant – Frank Braley, piano
    Viktor Lazlo : Canoë rose / Viktor Lazlo


« Qu’elle soit classique, jazz ou autre, la musique est généreuse. Elle parle à tout le monde. L’essentiel c’est de donner et de recevoir du plaisir » À la fin du concert, la chanteuse a interprété Canoë Rose, son grand succès de 1985. Pour elle, chanter avec un orchestre procure beaucoup plus de sentiments et de sensations, surtout ici en Belgique.

« Il y a eu beaucoup d’émotions quand j’ai chanté Canoë Rose. Ça m’a fait un truc… Toutes les personnes dans la salle, c’est comme si j’étais avec des amis et qu’on se rappelait cette chanson.
Et avec l’orchestre, c’est tellement plus fort… » Viktor Lazlo a interprété plusieurs chansons de Billie Holiday, la célèbre chanteuse de jazz. Accompagner l’ORCW lui a demandé beaucoup plus de précision.

« Dans un orchestre de chambre, il n’y a pas de section rythmique. C’est un peu effrayant pour une chanteuse. Il ne faut pas s’égarer pendant la chanson ».
 L’exercice est loin d’être simple. « Quand on me propose de jouer avec un orchestre, je dis oui directement, parce que j’adore ça. Puis, quand j’y suis, je me dis « Dans quoi tu t’es fourrée ! C’est vraiment un défi » , explique Viktor Lazlo.

Lee pianiste Frank Braley ouvre le concert ; le premier prix du Concours Reine Élisabeth de 1991 a joué des compositions de Jean-Sébastien Bach, d’Anton Dvorak et de George Gershwin.
Les reprises jazz de Billie Holiday ont ensuite pris le relais.
Le concert a alors pris une fabuleuse tournure avec la présence et la voix envoutante de Viktor Lazlo.
A quand l'album ? je croise les doigts !

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire