samedi 30 mai 2015

Viktor Lazlo au Théâtre :"Rue Saint Denis" d'Alain Foix




 Théâtre le 2 avril 2011
Voici Rue Saint-Denis en images de Régis Durand de Girard et en mots de spectateurs



 « Un bel oratorio claudélien » (Antoine Bourseiller, auteur-metteur en scène)



 « Entre Prévert et Sophocle, Alain Foix défend le droit des peuples à disposer de leur Tragédie. Sa rue Saint-Denis vaut le détour » (Jean-Michel Helvig, journaliste)
Nous avons passé une très belle soirée avec ton « Rue Saint-Denis », une oeuvre faussement biscornue, comme le décor, et authentiquement écrite, poétique, profonde. Que l’aventure de ce spectacle continue ! Gilles Costaz (journaliste, critique de théâtre)





 « Une tragédie moderne aux couleurs de blues sensuel et poétique. Une belle histoire d’amour » (Marie-Noëlle Eusèbe, comédienne)




 « Rue Saint-Denis est une déambulation dans le Paris des tout-seuls, une histoire racontée à tâtons dans l’obscurité de leur vie. Une dégringolade dans l’intime. » (Assane Timbo, comédien)




C’est une drôle d’histoire qui se passe à Paris, à moins qu’elle ne se passe en Caraïbe ou même en Grèce; aujourd’hui, il y a 3000 ans ou après-demain, et qui raconte l’âme des femmes et des hommes (Jean-Horreaux, guitariste et directeur adjoint de l’école nationale de musique de Bobigny)


Toute la poésie d’Alain Foix converge dans cette tragédie d’hier et d’aujourd’hui, mêlant violence et grande tendresse. Sa « Rue Saint-Denis », habitée d’une Viktor Lazlo magnifique et d’une présence exceptionnelle de Jean-Claude Drouot, est un grand moment de théâtre, un superbe duo de deux générations, de deux mondes. J’ai adoré ! (Myriam B. Editions Gallimard)
« Les jambes des femmes, disait Truffaut, sont des compas qui arpentent le globe terrestre en tous sens, lui donnant son équilibre et son harmonie… »
Rue Saint-Denis, le vieil Oreste, qui ne s’en laisse pourtant pas conter, ne se lasse pas de les contempler, les jambes des femmes qui font le trottoir, comme on dit, surtout la douce Marilyn, son oiseau des îles. Clic clac clic clac, pulsations de cette rue-monde où chacun court à son destin, l’homme et la femme, le fils et la mère, où se rejouent le tragique et l’antique, comme s’il était une fois, une première fois…

Alain Foix parle de cette rue comme d’un rêve ancien, assumant d’où l’on vient pour capter ce que l’on devient dans notre monde-Caraïbe. Consonances et dissonances, une partition magnifique dont les comédiens s’emparent avec une vraie jouissance. « Si l’on supprimait l’œdipe et le mariage, que nous resterait-il à raconter ? » disait Barthes. Courez à l’Epée de bois et vous saurez qui des comédiens ou du musicien, qui de l’auteur ou du conteur, sert le mieux cette histoire d’amour et de mort, « plus vieille que depuis bien longtemps ». Allez au théâtre, il est toujours temps…
Dominique Vochelle.


 Au nom de tous les invités et en mon nom je tiens à vous remercier chaleureusement de votre invitation. Nous avons passé une soirée et une après-midi très agréables, déroutantes, surprenantes, éblouissantes ! A l’unanimité nous sommes ressortis ébahis par le jeu des comédiens, admiratifs du décor parisien que nous quittons à l’invitation de Marylin pour marcher sur les rivages antillais ! Enfin, contrairement à ce que nous prédisait le conteur-coryphée sa prestation nous a marqué au point de ne surtout pas l’oublier et de ressortir des citations plein la tête ! Quelle écriture ! Nous serons probablement plusieurs à aller découvrir l’œuvre littéraire de Mr Foix.
Une pensée également pour le rôle du saxophoniste magnifiquement tenu.
Bravo et félicitations pour ce spectacle réussi à tout point de vue !
Anne-Sophie ARNAUD
Merci Alain





Après la création de Rue Saint-Denis à l’Artchipel, scène nationale de la Guadeloupe où elle y a connu un vif succès, nous voici de nouveau de retour à Paris où nous allons la reprendre pour la création Parisienne.
Si on écoute (comme il est souvent conseillé de le faire dans tous les théâtres) l’avis des techniciens et professionnels de cette scène nationale qui nous disent que réussir en Guadeloupe devant un public aussi difficile et exigeant, est un gage de réussite en tous lieux, alors nous voici assez confiants à 15 jours de la première parisienne. Il est vrai qu’en Guadeloupe, même les nombreuses classes de lycéeens qui sont venus, ont plébiscité ce spectacle, incitant leurs parents à aller le voir (nous avons, paraît-il, battu le record de fréquentation en matière de théâtre, de cette salle de 550 places).







Les raisons de ma confiance (toute relative, il est vrai, je cache mon trac) tiennent essentiellement en la qualité des interprètes (Viktor Lazlo, Jean-Claude Drouot, Cathy Bodet, Modeste Nzapassara, Mike Fédée), de la musique composée par Patrick Marcland et brillamment interprétée par Joonatan Rautiola, de la lumière créée par Ivan Mathis, du son géré par Kenan Trevien, des costumes créés par Charlotte Villermet, du décor créé par Laurent Berman et aussi à la qualité et au soutien sans faille de l’ensemble de l’équipe (collaboration gestuelle de Manuèle Robert, assistance à la mise en scène assurée par Natasha Mashkevitch, relations presse de Murielle Richard, relations publiques et communication mises en oeuvre par Ghislaine Gadjard, affiche de Nelson Foix, le tout de la production suivie par Jean-Jacques Barey).
Pour le reste, à savoir le texte et la mise en scène qui sont l’oeuvre de votre serviteur, je vous laisse seuls juges et vous invite à venir sur place vous faire votre idée, au théâtre de l’Epée de bois du 24 mars au 17 avril.
Venez nombreux. Même pas peur!
Alain Foix


mercredi 27 mai 2015

Viktor Lazlo - Trois femmes au Théâtre Hébertot en 2015

NOUVEAU RECITAL, Viktor Lazlo rend hommage aux divas du jazz :
 TROIS FEMMES.
Les 9 mars et 29 mai 2015, les 2 et 3 janvier 2016

Elle sera accompagnée sur la scène du Théâtre Hébertot par Michel Bisceglia au piano et Olivier Louvel aux guitares.
Après trois années passées à sonder le répertoire de Billie Holiday, la question s’est posée : pourquoi en sortir ? Pourquoi revenir en arrière ? 
Pourquoi quitter ce répertoire si vaste et si riche ?

"Alors j’ai décidé de réunir dans un seul et même récital trois voix, trois vies de femmes, les trois divas du Jazz : Sarah Vaughan, Ella Fitzgerald et Billie Holiday.
Pour approcher leur singularité et leurs ressemblances, pour tenter de faire la peau aux idées reçues et à mon tour, trouver ma voie parmi ces trois grandes voix. Une boîte noire, un piano, une guitare.
Avec une simplicité revendiquée, seuls compteront la musique et les mots que ces trois femmes ont chanté, ont vécu, sur des chemins qui se sont parfois croisés, pour arriver jusqu’à nous."
Viktor Lazlo


En avant première pour le blog, un enregistrement de "My Funny Valentine"





Viktor en mode selfie avec Olivier Louvel, et Michel Bisceglia
 

Pour réserver vos places, direction le Théâtre Hébertot ici

samedi 23 mai 2015

Viktor Lazlo devant 500 000 000 télespectateurs

Retrouvez Viktor Lazlo lors du grand concours Eurovision de la chanson 1987 en maîtresse de cérémonie devant 500 millions de téléspectateurs.  

Nombreux sont ceux qui disent qu'elle aurait remporté le concours si elle avait représenté la Belgique cette année là Article complet ICI 



Voici le show intégral !!!   


Laissons nous charmer par notre délicieuse hôtesse, par l'ouverture du show et de sa prestation sur son titre "Breathless" , parée des splendides robes créées par Thierry Mugler





vendredi 15 mai 2015

Bernard Giraudeau sur le titre "Gardez-moi"


En 1996 sur l'album "Verso" figure un titre écrit par Viktor Lazlo et André Manoukian : "Gardez-moi", avec la participation de Bernard Giraudeau.
       Ce sera l'unique fois où Bernard Giraudeau enregistrera une chanson.



On ne retrouvera pas Bernard dans la version anglaise "If I go" (album "Back to front")


Cette même année sort le film de Bernard Giraudeau "Les caprices d'un fleuve". Dans le livre de Bertrand Tessier , "Bernard Giraudeau le baroudeur romantique" on peut lire ce passage à propos du film :


- Janvier 1995 : le tournage peut enfin commencer. Un tournage ? Une aventure, plutôt . Car il y a de l'épopée dans ce film pas comme les autres. Bernard s'est entouré de Thierry Frémont, Roland Blanche et de la Martiniquaise France Zobda, finalement préférée à Viktor Lazlo, trop urbaine et contemporaine à son goût.(....)


Ecoutez cette magnifique chanson :
"Gardez-moi"



Ou la version anglaise : "If I go"








lundi 11 mai 2015

Zoom sur Nicolas Kummert : un saxophoniste bourré de talents

Comme nous, vous l'avez sûrement apprécié dans le spectacle "Billie Holiday". Aujourd'hui nous vous proposons de le découvrir davantage.

Saxophoniste ténor et soprano, chanteur et compositeur, Nicolas Kummert a déjà bien arpenté le monde. Avec une trentaine de disques et des concerts dans une quarantaine de pays, ce Namurois d'origine à de quoi impressionner! 

En 2003, Nicolas Kummert recevait à 24 ans le Django d’Or jeune talent. A la même époque, le pianiste américain Brad Mehldau écrivait de lui : « ...Il y a souvent une merveilleuse douceur dans le jeu de Nicolas Kummert qui sert parfaitement la musique...Un musicien avec une forte personnalité




En plus d'une sensibilité évidente, Nicolas Kummert fait preuve d'une polyvalence à toute épreuve, ce qui le distingue et laisse apparaitre une identité bien à lui dans la grande famille du jazz.

Dans sa jeune carrière, il a déjà eu la chance de donner des concerts en festivals ou clubs dans quelques 25 pays tels que: Australie, Russie, Canada, Tunisie, Bénin, Mexique, France, Angleterre, Finlande, Norvège, Maroc…
Avec le Alexi Tuomarila Quartet, il a également remporté des concours internationaux (Avignon en 2001, et Hoeilaart en 1999).
Il est diplômé du « Koninklijk conservatorium van Brussel » et a également obtenu l’agrégation de professeur.


Il a enregistré une bonne trentaine de CDs avec :
– QU4TRE : groupe pour lequel il compose également (CD « 4 » et « Submarine »)
– Alexi Tuomarila Quartet : il contribue également avec quelques compositions sur les 2 disques (le dernier étant produit par Warner Music) et a joué de Paris à Sydney, en passant par Lisbonne ou Helsinki.
– Il a aussi enregistré et tourné avec Pierre Van Dormael & Vivaces (avec entre autres S. Galland, Ch. Sardjoe, Bo et Otti Vanderwerf,…), Alchimie, Jambangle et différents projets d’artistes africains dont John Arcadius, Inno De Sadjo afro soul experience et Djakhobo.
– Il collabore également avec le Dj Vincenzo Binci, avec lequel il a joué dans une vingtaine de discothèques européennes dont le célèbre « Ministry of sound » londonien.Mais également avec notre Patrick Balzat national .



– Nicolas Kummert jouera toutes les dates à Paris avec le spectacle « My name is billie holiday » de Viktor Lazlo, mise en scène par Eric-Emmanuel Schmidt, ainsi que la tournée à travers l ‘Europe.




Il retrouve Viktor Lazlo dans l'hommage à Billie Holiday qui a été présenté au Petit Théâtre Montparnasse et qu'on retrouvera le 22 mai prochain à Maule.







Son dernier album « Liberté aborde des thèmes sombres tels que le racisme et la mort mais garde le côté festif des influences africaines » . Le répertoire de « Liberté » mêle compositions originales et grands classiques du jazz vocal. L’album s’ouvre sur le récitatif de Intro To Stand Up Today, consacré aux « erreurs de l’histoire » et bientôt suivi de ce thème dédié à Trayvor Martins, ce jeune afro-américain de 17 ans tué par un vigile qui bénéficia de la « légitime défense »  : c’est d’ailleurs un portrait du jeune homme, réalisé par Madeleine Tirtiaux qui illustre la pochette. 




Retrouvez toutes les nouvelles de Nicolas Kummert sur son site : http://www.nicolaskummert.com/

Retrouvez-le aussi le 22 mai avec Viktor  sur scène: 


vendredi 8 mai 2015

Viktor Lazlo retrouve Chantal Thomass



"Dans tes rêves"
émission de Laurence Garcia du 2 mai 2015 sur France Inter


Chantal m'a fait quitter la Belgique pour venir à Paris. C'est elle qui m'a fait défiler pour la première fois, c'est la seule pour qui j'ai travaillé à Paris. Moi je ne rêvais pas particulièrement de devenir mannequin ou de défiler. Chantal m'avait choisie parce que j'étais "normale" .



vendredi 1 mai 2015

Hôtel des deux mondes : Viktor Lazlo dans la pièce d'Eric Emmanuel Schmitt




En 1999 et 2000, Viktor a joué le rôle du Docteur S lors de la création de la pièce d'Eric-Emmanuel Schmitt au Théâtre Marigny "Hôtel des deux Mondes" qui sera nommée 7 fois aux Molières en 2000.

Résumé :


Aucun client ne sait comment il est arrivé à l'Hôtel des deux mondes. Personne ne sait quand il pourra repartir, ni vers quelle destination. Dans ce lieu étrange, tout est possible, même les miracles. Les infirmes recouvrent l'usage de leurs membres et les menteurs disent la vérité. L'énigmatique docteur S. chargé d'accompagner leur séjour ne fait que rendre plus aiguës les questions de ses hôtes.





Un suspense métaphysique entre rêve et réalité, vie et mort, comédie et tragédie, où l'auteur du Visiteur  poursuit sa recherche éperdue du sens et pose le mystère comme raison même d'espérer.

















Nous vous proposons de retrouver Viktor dans un extrait de cette pièce :



De la rencontre entre l'auteur et la comédienne, naîtra une profonde amitié qui se poursuivra lors d'une autre aventure théâtrale; celle du spectacle "Billie Holiday". Puisque quelques années après, Eric Emmanuel Schmitt mettra en scène le spectacle créé par Viktor, intitulé alors "My name is Billie Holiday".