mardi 28 avril 2015

Viktor Lazlo : les photos, enfin dévoilées...ヴィクトルラズロ

Il y a quelques semaines de cela, le blog vous a fait découvrir des photos rares d'un shooting... Ces photos de Viktor plus glamour que jamais en Thierry Mugler, dévoilent aujourd'hui leurs secrets...
Elles proviennent du back-cover du LaserDisc de Viktor Lazlo, uniquement commercialisé au Japon, coïncident à la sortie de son deuxième album en 1987. Tournés en France, en Belgique et au Maroc, les magnifiques clips s'enchainent ; liés les uns aux autres, par une intrigue qui ne révélera son secret qu'à la fin du film. 
Rares sont donc les images issues du LaserDisc que l'on pourrait encore trouver. 
Le blog a volontairement "brouillé" les pistes, en diffusant un premier extrait pour son montage de "If not Now" .

Au fil du temps, nous vous offrirons ces merveilleux clips où Viktor Lazlo nous invite à suivre une enquête mystérieuse. 
Lors de son enquête et de ses voyages , elle découvre à chaque étape, un message ainsi qu'un polaroïd, l'invitant à poursuivre sa quête sous d'autres cieux, dans d'autres lieux...
Les polaroïds font alors figures de pièces d'un puzzle, qu'elle devra compléter pour résoudre, "l'énigme"...









Le laser contient 9 chapitres :
  1. Hey Baby Cool!
  2. Canoë Rose
  3. You are My Man
  4. Take Me
  5. Peter
  6. Champagne and Wine
  7. Sweet Soft'n Lazy 
  8. Moonlight Parade
  9. Breathless.
Afin de vous offrir de nouvelles images du LaserDisc, nous vous proposons de découvrir notre nouveau montage. Nous avons pris le pari d'associer ce clip (originalement destiné au titre "Hey Baby Cool" / Feat. The Count Basie Orchestra) au magnifique duo : "With You I'm Born Again" que Viktor Lazlo a enregistré avec le chanteur Oscar Harris. Titre rare et uniquement disponible sur le CD " Rarities" !!!



Et enfin, ci-après, les paroles de la chanson :

Come bring me your softness
Comfort me through all this madness
Woman, don't you know
With you I'm born again

Come give me your sweetness
Now there's you, there is no weakness
Lying safe within your arms
I'm born again

I was half, not whole
In step with none
Reaching through this world
In need of one

Come show me your kindness
In your arms I know I'll find this
Woman, don't you know
With you I'm born again
Lying safe with you I'm born again

Come bring me your softness
Comfort me through all this madness
Woman, don't you know
With you I'm born again

Come give me your sweetness
Now there's you, there is no weakness
Lying safe within your arms
I'm born again
Woman, don't you know
With you I'm born again

I was half, not whole
In step with none
Reaching through this world
In need of one

Come show me your kindness
In your arms I know I'll find this
Woman, don't you know
With you I'm born again
Lying safe with you I'm born again

jeudi 23 avril 2015

Les interviews " essentielles"




Voilà maintenant 2 mois qu'est paru le troisième roman de Viktor Lazlo. Depuis Viktor a participé à de nombreux salons littéraires, et a été invitée à la télévision et à la radio pour nous parler des "Tremblements essentiels". Nous vous proposons de regarder et d'écouter les plus remarquables de ses interviews.






Chez Daniel Picouly, pour l'excellent "Page 19" sur France O


Sur "Radio classique", l'interview de Patrick Poivre D'Arvor


Sur Télésud dans "Des mots et débats"


Sur RTL dans l'émission "Bel RTL matin"


Reçue par Sylvain Augier sur Sud Radio dans l'émission "Qu'est-ce qui vous fait courir ? "


"Vous m'en direz des nouvelles", Jean-François Cadet sur RFI


Et pour terminer, le choix de Tristane Banon : Les tremblements essentiels sur France Bleu


"Les Tremblements Essentiels" aux editions Albin Michel




jeudi 16 avril 2015

100 ans de Billie Holiday





Billie Holiday aurait eu 100 ans cette année, partout on lui rend hommage. Sur France 5 dans l'émission "Entrée libre", c'est à Viktor Lazlo qu'on a choisi de faire appel pour nous parler d'elle.






Voici le reportage :





et une interview sur europe 1







dimanche 12 avril 2015

Alain Chamfort parle aujourd'hui de Viktor Lazlo et de "Backdoor man"



Sur Nostalgie aujourd'hui dans le cadre de l'émission "La boîte à vinyles" , Alain Chamfort a choisi trois 45t et son premier choix c'est : Viktor Lazlo.
Ecoutons-le nous raconter la création de "Backdoor man"...
...A suivre...

Retrouvez l'article consacré à leurs rencontres ICI

Juste après cette émission, ils se sont retrouvés sur le plateau de "69 minutes sans chichis":


samedi 11 avril 2015

Lazlo & Chamfort : Les beaux moments

Notre grand artiste Alain Chamfort vient de sortir son 12ème opus, sobrement intitulé "Alain Chamfort". Il marque son retour après son album de reprises-duos "Elles&Lui" paru en 2012 et son superbe "Une vie Saint-Laurent" disponible depuis 2010.
Et si nous remontions quelque peu le temps...

En 1983 , le réalisateur Jean-Pierre Mocky sollicite Alain Chamfort pour la composition de la musique de son prochain film "A mort l'arbitre". Il écrit la chanson générique "Backdoor Man". Il lui faut une voix féminine pour interpréter ce slow langoureux aux accents très jazzy fifties. Le texte écrit en anglais par Boris Bergman réduit le nombre de chanteuses françaises capables de chanter du jazz. Mais Alain a rencontré sur un plateau télé en Belgique, une certaine Viktor : il tombe rapidement sous le charme de la jeune chanteuse. Elle possède la voix et le glamour nécessaires pour sublimer la chanson. 
Le 6 janvier 1983 Alain appelle Viktor.
1984 : "Backdoor Man" sort enfin en 45 tours : c'est le premier disque officiel de Viktor. La carrière de Viktor est lancée.
 






Une grande amitié s'est nouée entre Viktor et Alain. Alain Chamfort prépare une tournée et s'installe sur la scène de l'Olympia il lui faut deux choristes Viktor Lazlo en fera donc partie.






Quelques années passent... Ils se croisent, se recroisent, chacun d'entre eux ayant un regard tendre et attentif et respectueux sur leur productions respectives. Depuis 1984 Viktor a parcouru un beau chemin, elle est connue et reconnue. 

Serge Gainsbourg, Alain Chamfort et Viktor Lazlo : musiques et amitiés 

Depuis 1977 Alain collabore avec Serge Gainsbourg et ce jusqu'en 1981. Viktor Lazlo devra "attendre" 1989 pour travailler avec Serge, ce sera le sexy-funk  "Amour Puissance X". 




Viktor, et Serge Gainsbourg
Serge ira jusqu'à la filmer à l'occasion du Printemps de Bourges en 1987 et montera sur scène avec elle alors qu'elle chante "Breathless". Et en 1989 c'est donc "Amour Puissance X"...






C'est tout naturellement que Viktor et Alain retrouveront cette belle complicité  sur le plateau de Taratata pour un hommage à Gainsbourg : "La Javanaise" : seul duo chanté par nos deux artistes. Tendresse assurée.



L'extrait vidéo :

L'interview :




Backdoor Man : musique et production par Alain Chamfort, paroles de Boris Bergman

Backdoor man
Oh don’t you leave me Backdoor man For if you leave me I’ll get in A New York state of mind
Backdoor man Stay ‘till the morning Turn to low
I’ll spend them showing, before dawn We gotta lot of time They say
I don’t care ‘bout what they say
You know minds
They knew enough ‘bout my arms
The moon is like a flashlight
When you’re blending with the night Backdoor man Oh don’t you leave me I’ll feel down I’ll be daydreamin’ Praying hard You were back in no time
Backdoor man
When the game’s over When we’re through You’ll run for cover Here they come
The new york state of mind They say
I don’t care ‘bout what they say
You know minds
They knew enough ‘bout my arms
The moon is like a flashlight
When you’re blending with the night

Backdoor man
Oh don’t you leave me Backdoor man For if you leave me I’ll get in A New York state of mind

Backdoor man


Et tout récemment, vendredi 10 avril, " La Belle et le Dandy" se sont retrouvés sur le même plateau pour l'enregistrement de l'émission anniversaire du top 50 qui sera diffusée prochainement sur M6

jeudi 9 avril 2015

Viktor en interview pour les 2 représentations de "Billie Holiday " à Avignon



  


Quelques jours avant les 2 représentations de "Billie Holiday"  les 16 et 17 avril prochain à Avignon au Théâtre du Chêne Noir, la webradio généraliste Osmose radio a choisi d'interviewer Viktor, voici la sympathique interview:







Pour tous ceux et celles qui ne pourront se déplacer jusqu'au Théâtre du Chêne Noir à Avignon (complet le 16 avril) ; une diffusion télé exceptionnelle est programmée sur France O dans la nuit de dimanche, le 12 avril à 00h25 !!! 
Vous n'aurez pas l'intégralité du spectacle, en revanche c'est 1h30 de pur bonheur ; filmé avec soin à l'occasion d'une représentation donnée il y a quelque temps au Théâtre Rive Gauche de Paris; Merci France O qui participe à son tour, à l'anniversaire de la disparition de la grande Lady Day.

mercredi 8 avril 2015

L' hommage à Joséphine Baker

Voila 40 ans aujourd'hui que s'est éteinte "Fifine..."


Dans son spectacle et son album "Loin de Paname", Viktor a souhaité saluer  l'immense Joséphine Baker.
Elle lui rend un hommage troublant et rythmé, notamment grâce à son interprétation de la chanson "La Conga blicoti". Ce titre  clôture l'album avec panache et passion. Vous aviez déjà apprécié revoir Joséphine Baker dans le montage du blog  du "Bal Défendu", alors, en complément, retrouvez son talent unique, posé sur la voix sensuelle de Viktor et le rythme endiablé de Raul Paz dans : La conga blicoti



Josephine Baker tire sa révérence le 12 avril 1975.

Joséphine Baker: un demi-siècle de panache
Joséphine Baker, comme les autres monstres sacrés du music-hall, était bien autre chose qu'une «perle noire», brillant au milieu des paillettes et des plumes: c'était une personnalité, un personnage, une âme.
Elle était née en 1906, à Saint-Louis du Missouri. Petite-fille d'esclaves originaires du Sénégal et qui avaient transité par la Martinique avant d'être vendus dans le Sud, elle eut à supporter très tôt le mal qu'elle ne cessa de dénoncer sa vie durant: le racisme. Enfant, également, elle découvrit sa vocation pour le spectacle. Elle donnait aux gosses des environs des représentations sur un petit théâtre construit avec des caisses et de vieux chiffons, dans une cave.
A seize ans, elle quitta sa famille et parut sur les planches. Ses meilleurs professeurs de danse avaient été les animaux d'un zoo, notamment les kangourous.
Deux ans plus tard, «Fifine» était une des cinq girls d'une revue de Broadway.
 
 
En octobre 1925, elle débarquait à la gare Saint-Lazare du train transatlantique, avec la troupe de «La Revue Nègre»
Quarante-huit heures plus tard, elle entrait en scène en se contorsionnant et en roulant des yeux, tandis que jouait divinement un musicien inconnu du nom de Sidney Bechet. Ce fut un brusque et fantastique triomphe. Joséphine Baker devint une des coqueluches de Paris. Paul Colin dessina sa silhouette, Paul Poiret créa des robes pour elle. Les femmes imitèrent sa coiffure et Paris alla «Chez Joséphine», à Pigalle, apprendre le charleston.
Puis Fifine dansa aux Folies-Bergère, les reins entourés de bananes. Mais ce n'était encore qu'une belle fille spontanée, sauvage, instinctive. Henri Varna, au Casino de Paris, allait faire d'elle une vraie vedette internationale. Finis les déhanchements et les roulements d'yeux! Rue de Clichy elle eut également la chance de rencontrer un génie de la chanson, Vincent Scotto, qui composa pour elle la plus célèbre de ses nombreuses chansons, " J'ai deux amours" .
 

Le monde entier réclama Joséphine Baker. Elle multiplia les revues, joua l'opérette La Créole, tourna quelques films comme Sirène des Tropiques ou Princesse Tam Tam, mais sa destinée était surtout d'apparaître au sommet de l'escalier, dans des robes scintillantes et d'ensorceler les publics de l'univers, avec sa voix inimitable qui, sans micro, savait aller au cœur.

 Au lendemain de la Libération, elle se consacra à sa grande idée: montrer que le racisme est la honte de l'humanité.
A l'un de ses retours, elle trouva l'Europe en guerre. Cette femme qui haïssait le racisme et qui aimait la France où elle avait connu la gloire, gagna Alger et servit dans les auxiliaires des Forces françaises libres, ce qui lui valut la Légion d'honneur, la Croix de guerre et la Médaille de la Résistance. Elle avait acquis la nationalité française.
Au lendemain de la Libération, fervente gaulliste, elle se consacra à sa grande idée: montrer que le racisme est la honte de l'humanité. Elle adopta des enfants qui en étaient les victimes.Pour loger «ses enfants», elle acquit le domaine des Milandes, en Périgord.
On la vit quitter le soir le spectacle dont elle était la vedette, pour aller acheter des nourritures aux Halles et voyager toute la nuit pour se trouver aux Milandes au lever du jour et servir elle-même le petit déjeuner à ses pensionnaires.
Joséphine n'était pas une gestionnaire. Les dettes s'accumulèrent. Elle se battit héroïquement. Les dons affluèrent du monde entier. Rien n'y fit. Le domaine des Milandes fut vendu.
Que va devenir le rêve de Joséphine Baker, cette grande famille multi raciale et exemplaire? Ce rêve pour lequel elle est tombée, épuisée par tant de jours et de nuits de travail, quelques heures avant que le rideau s'ouvre sur l'escalier ruisselant de lumière?
Par Jean Prasteau


dimanche 5 avril 2015

"If not now ..." extrait de l'album "SAGA"


Voici une nouvelle rubrique dans le blog, celle des chansons de Viktor qui sont passées trop inaperçues à notre goût  et que nous aimons. On vous propose de les redécouvrir.
Vous avez déjà beaucoup apprécié "Y a pas d'amour".
Aujourd'hui nous vous proposons d'écouter "If not now" chanson extraite de l'album "Saga" écrite par Viktor Lazlo et Owen Replay. 


Une ambiance jazzy très "midnight soul" comme on les aime.


En prime, des images inédites (extraites du LaserDisc japonnais).
Viktor, belle et tendrement nostalgique à Paris...

samedi 4 avril 2015

3 Femmes : Les premières images

Viktor rend hommage aux Divas du Jazz : Ella Fitzgerald, Sarah Vaughan et Billie Holiday
"Trois Femmes" ; au Théâtre Hébertot le 29 mai prochain. Réservez vos places ! 

Après la représentation de mars dernier, retrouvez sur scène ce magnifique récital où l'émotion vous donne rendez-vous. 






Les premières images en exclusivité :






"J'ai décidé de réunir dans un seul et même récital trois voix, trois vies de femmes, les trois divas du jazz : Sarah Vaughan, Ella Fitzgerald et Billie Holiday. Pour approcher leur singularité et leurs ressemblances, pour tenter de faire la peau aux idées reçues et à mon tour, trouver ma voix parmi ces trois grandes voix. Une boîte noire, un piano, une guitare. Avec une simplicité revendiquée, seuls compteront la musique et les mots que ces trois femmes ont chanté,ont vécu, sur des chemins qui se sont croisés, pour arriver jusqu'à nous." Viktor Lazlo. Février 2015


Et le montage du blog  :




Olivier Louvel
Michel Bisceglia
Accompagnée des fabuleux musiciens que sont Michel Bisceglia au piano et Olivier Louvel aux guitares, Viktor nous offre une prestation sobre et élégante pour un voyage unique au coeur du jazz.




Les artistes en mode "selfie" pendant les répétitions





Le créateur Franck Sorbier a créé la magnifique robe que Viktor porte sur scène.